Hier, dans le journal, une pub assez originale!
mercredi 22 septembre 2010
mardi 21 septembre 2010
lundi 20 septembre 2010
Vârânasî
Attention les yeux, ce billet contient énormément de photos!
Non, non, je ne me suis pas trompé dans les accents comme le prouve la page correspondante sur Wikipédia, bien qu'il soit difficile de savoir comment ses auteurs ont su qu'il y avait tant de différences entre la version en hindi et la version française...
Raj, grand organisateur d'évènements à ses heures, avait pris trois billets pour se rendre sur place il y a deux semaines (le week-end du 4-5 septembre), car une nouvelle connaissance que j'avais faite sur Expat blog (encore!), dénommée Marie-Lisa devait nous accompagner aussi. Las, elle fut prise d'un torticolis version "bombe atomique", du genre à devoir rester pendant deux jours allongée sans bouger, même pour aller se brosser les dents. Tant pis, notre -deuxième- rencontre sera reportée à Rishikesh, deux semaines plus tard. Mais ça, c'est une autre histoire...
Vârânasî, c'est une ville très connue car c'est là où les Indiens brûlent leurs morts. Et bien que le lieu ait une atmosphère particulière, ce n'est pas ça que j'ai retenu en premier. Explications...
Des temples à foison
Que je vous prévienne de suite, des temples, vous allez en voir. Mais pas que ça, heureusement. Pourtant, on en a fait une pelletée, du genre six ou sept dans la journée, parcours sportif heureusement entrecoupé de pauses au bord du Gange, au restaurant ou au musée.
La gare de Vârânasî. |
Une autre vue de la gare. |
Les autorickshaw de Vârânasî. |
Le temple vu de l'extérieur. |
mercredi 8 septembre 2010
Les motards, la pluie, l'Inde
C'est amusant, mais je pensais que les Delhiites seraient plus prévoyants, eux, connaissant des pluies diluviennes chaque année en cette période de mousson. Mais non, lorsqu'une douche s'abat soudainement sur les deux itinérants que nous étions, Dinesh et moi, entre l'université d'Amity et le secteur 18 de Noida, nous assistons à un vrai regroupement de motards sous tous les abris possibles... et notamment sous les ponts, où la foule finit par boucher une bonne partie de la route.
Ce qui mène, à terme, à d'énormes bouchons, chose que nous n'avons pas vu ce jour-là mais que j'ai déjà pu vivre en personne: je ne vous ai pas (encore) parlé du jour où j'ai du marcher 20 minutes en compagnie de Raj jusqu'à enfin pouvoir trouver un rickshaw à un endroit où la circulation commençait à se fluidifier.
A Tahiti, je me souviens que les autochtones utilisaient de grands "manteaux" faits d'un simple grand morceau de plastique transparent: pas très classe, mais hyper efficace. Il y en avait même qui utilisaient des sacs poubelle.
Où est passé le jugaad indien sur ce coup? ;)
Ce qui mène, à terme, à d'énormes bouchons, chose que nous n'avons pas vu ce jour-là mais que j'ai déjà pu vivre en personne: je ne vous ai pas (encore) parlé du jour où j'ai du marcher 20 minutes en compagnie de Raj jusqu'à enfin pouvoir trouver un rickshaw à un endroit où la circulation commençait à se fluidifier.
Petit pause "au sec" avec Dinesh, sous l'abri d'un pont. |
Un petit aperçu de la foule faisant de même... |
Où est passé le jugaad indien sur ce coup? ;)
jeudi 2 septembre 2010
"Jai Mata Di": Vaishno Devi - Partie 2
Attention les yeux, ce billet contient énormément de photos!
Note: Avant de lire ce billet, vous souhaiterez peut-être lire sa première partie.
Montée au Vaishno Devi Bhavan (suite)
Nous arrivons donc à cette mini ville, qui fourmille d'une grande activité: les visiteurs se reposent ou se restaurent, peuvent visiter une grotte non loin, prient, ... Il y a de quoi voir.
Les pèlerins prennent repos à l'ombre. |
Notre déjeuner, qui s'est avéré excellent. |
Petite vue de ce qui nous attend... |
La dernière vue d'ensemble de Katra que j'ai prise. |
Celle-là, elle ne compte pas :p |
Dinesh, Raj et Raghav, prêts à repartir. |
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